Les filles travaillent. Aurélie tient l’épicerie et Emilie le bar.

A             - Bonjour, ça va Emilie ?

E             - Oui, ça va très bien Aurélie. Tu viens boire un Ricard ?

A             - Euh, non.

Un homme entre dans le bar pour prendre l’argent et à manger dans un sac poubelle. Le voleur est masqué.

V             - Lève tes mains sinon je te tue !

Aurélie tombe dans les pommes.

V             - Ouvre la caisse sinon je te tue, vendeuse de pêches !

Le voleur s’en va avec la caisse. En sortant de l’épicerie, le voleur échappe une boîte de gâteaux.

E             - Ah ! Aurélie est tombée, vite, il faut que j’appelle les policiers.

Au commissariat :

JC           - Allo, qui est à l’appareil ?

E             - C’est Emilie, je tiens le bar, viens vite Jean-Claude faire une enquête, il y a eu un vol dans l’épicerie.

JC           - Oui, j’arrive tout de suite.

Emilie attend le policier dans l’épicerie. Le voleur range tout dans le coffre de sa voiture.

Le policier arrive du commissariat. Enfin, Aurélie se réveille et saute dans les bras de Jean-Claude.

A             - Bonjour, Jean-Claude ! J’ai vu un voleur dans l’épicerie. Il a voulu nous tuer, Emilie et moi !

JC           - Je vais faire une enquête sur le voleur.

E             - Tu as raison Jean-Claude.

Jean-Claude va dehors pour l’enquête. Il voit les gâteaux.

JC           - Une boîte de gâteaux ! C’est le voleur, il est par là.

Il voit le voleur.

JC           - Bonjour monsieur, vous n’avez pas vu un voleur ?

V             - Non non, euh, si, il est parti à droite ! Devant le portail vert.

Jean-Claude va voir mais ne trouve rien. Il retourne à l’épicerie voir les deux filles.

E             - Tu as retrouvé le voleur ?

JC           - Je ne l’ai pas retrouvé, Emilie.

A             - C’est dommage Jean-Claude.

Le voleur met son masque.

V             - Je vais cambrioler la banque de Maillet.

Jean-Claude sort et voit le voleur. Il l’attrape.

JC           - Je t’ai eu voleur masqué !

V             - Oh non, encore moi !

Jean-Claude retourne à l’épicerie.

E             - Bravo Jean-Claude, tu as réussi !

A             - Merci Jean-Claude, tu es le meilleur.

JC           - Et si ce soir on allait au restaurant ?

A et E      - D’accord Jean-Claude.

Il sort avec le voleur.

E             - Jean- Claude est gentil, il nous paye le restaurant.

A             - Je suis d’accord, il est sympa.

Le voleur est assis dans la voiture.

V             - Zut, je me suis fait prendre !